Des intellectuels palestiniens et arabes israéliens ont lancé lundi un nouveau magazine en ligne, depuis Israël, dans le but de faire tomber les tabous liés à l’islam.
Qadita, le site Internet en langue arabe vient d’être lancé par des jeunes citoyens arabes israéliens ou palestiniens réfugiés en Israël. A vocation culturelle, il comporte une rubrique sur l’homosexualité, ce qui est une première pour un site qui vise le public de langue arabe.
« Notre site sera comme un oasis culturel où chacun pourra s’évader pour lire une nouvelle ou regarder un évènement culturel via Youtube,» a expliqué Alaa Hlehel, fondateur de Qadita.net et citoyen arabe de l’Etat Juif.
Qadita.net, qui est le premier magazine arabe “gay-friendly” tire son nom d’un village arabe en Israël. Il s’en prend aux restrictions imposées à la liberté d’expression dans les sociétés arabes et musulmanes. Ce site volontairement progressiste n’hésite pas à s’attaquer aux interdits: “nous sommes citoyens d’Israël. Nous sommes libres. Nous devons reconnaître que nulle part ailleurs dans le monde arabe ou musulman nous ne pourrions parler et écrire ainsi. D’ailleurs, d’après ce que l’on sait,, certains pays arabes veulent déjà nous censurer. Vous savez, presue partout au Proche-Orient sauf en Israël, être homo est puni de la peine de mort.”
Israël est le seul pays libre ou Proche Orient. Un Etat démocratique qui accueille chaque année un nombre important d’arabes palestiniens homosexuels fuyant les persécutions musulmanes. Tel Aviv abrite une communauté homosexuelle importante. L’homosexualité en Israël a été dépénalisée il y a 20 ans.
« Notre site sera comme un oasis culturel où chacun pourra s’évader pour lire une nouvelle ou regarder un évènement culturel via Youtube,» a expliqué Alaa Hlehel, fondateur de Qadita.net et citoyen arabe de l’Etat Juif.
Qadita.net, qui est le premier magazine arabe “gay-friendly” tire son nom d’un village arabe en Israël. Il s’en prend aux restrictions imposées à la liberté d’expression dans les sociétés arabes et musulmanes. Ce site volontairement progressiste n’hésite pas à s’attaquer aux interdits: “nous sommes citoyens d’Israël. Nous sommes libres. Nous devons reconnaître que nulle part ailleurs dans le monde arabe ou musulman nous ne pourrions parler et écrire ainsi. D’ailleurs, d’après ce que l’on sait,, certains pays arabes veulent déjà nous censurer. Vous savez, presue partout au Proche-Orient sauf en Israël, être homo est puni de la peine de mort.”
« Nous faisons cela pour autoriser les homosexuels à s’exprimer, fuir leur ghetto et devenir une part naturelle de la culture arabe et palestinienne », a expliqué Alaa Hlehel en précisant qu’il ne craignait pas les menaces de groupes religieux ou homophobes. Le projet est délicat, mais pourrait bien s’appuyer sur les 20 % de la population arabe israélienne.
Le site va publier des contributions de nombre d’auteurs arabes et palestiniens, et consacrera une rubrique spéciale à des écrivains homosexuels, qui publieront anonymement.
« Nous attaquer sur le sujet de l’homosexualité sera facile, mais à cause de ça nous allons nous assurer que tous nos écrits seront de grande qualité » a conclu le communiqué de présentation du magazine arabe.Le site va publier des contributions de nombre d’auteurs arabes et palestiniens, et consacrera une rubrique spéciale à des écrivains homosexuels, qui publieront anonymement.
Israël est le seul pays libre ou Proche Orient. Un Etat démocratique qui accueille chaque année un nombre important d’arabes palestiniens homosexuels fuyant les persécutions musulmanes. Tel Aviv abrite une communauté homosexuelle importante. L’homosexualité en Israël a été dépénalisée il y a 20 ans.
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