Le ballet des consultations politiques se poursuivra jusqu'à début juin à la présidence.
Sid Ahmed Ghozali n’est pas allé avec le dos de la cuillière à sa sortie de sa rencontre, dimanche, avec Abdelkader Bensalah, le général Touati et Mohamed Boughazi, conseillers à la présidence. La solution selon l’ancien chef du gouvernement ne se résume pas au changement des lois. Elle est essentiellement dans le choix des hommes. « Notamment la Loi fondamentale, d’autant plus que ces lois ne sont pas respectées dans leur contenu depuis des décennies ». Allusion faite à Bouteflika qui avait amendé la Constitution pour prolonger sa présidence. Par ailleurs, l’homme au papillon a lancé un appel en direction du « pouvoir apparent » et du « pouvoir caché » pour que ceux-ci aillent dans le sens de véritables « réformes politiques ». « A mesure qu’on s’éloigne du fond du sujet ainsi que des défis à relever et des préoccupations (du peuple) on se rapproche du choc qui risque de se produire dans le pays », a-t-il averti à la fin de cette rencontre qui n’a duré qu’une petite heure. L'adresse est claire, elle en appelle au DRS dont les capacités d'influence sont énormes et décisives, et à la présidence considérée comme la vitrine apparente du pouvoir.
Invité et reçu en sa qualité de personnalité politique, l'ancien chef de gouvernement avait rappelé que « la courtoisie est nécessaire mais ne peut pas exclure la franchise lorsque la question touche le pays ». Il a confié qu'il remis ses propositions « à qui de droit ». Si Ahmed Ghozali dont le parti le Front démocratique politique n’a pas été agréé par le ministère de l’intérieur est connu en outre pour son opposition au président de la république qu’il a brocardé dans ses multiples interventions dans la presse. Après Mohamed Saïd, il est donc la deuxième personnalité invitée auquelle le pouvoir a refusé l’agrément de son parti.
Sid Ahmed Ghozali n’est pas allé avec le dos de la cuillière à sa sortie de sa rencontre, dimanche, avec Abdelkader Bensalah, le général Touati et Mohamed Boughazi, conseillers à la présidence. La solution selon l’ancien chef du gouvernement ne se résume pas au changement des lois. Elle est essentiellement dans le choix des hommes. « Notamment la Loi fondamentale, d’autant plus que ces lois ne sont pas respectées dans leur contenu depuis des décennies ». Allusion faite à Bouteflika qui avait amendé la Constitution pour prolonger sa présidence. Par ailleurs, l’homme au papillon a lancé un appel en direction du « pouvoir apparent » et du « pouvoir caché » pour que ceux-ci aillent dans le sens de véritables « réformes politiques ». « A mesure qu’on s’éloigne du fond du sujet ainsi que des défis à relever et des préoccupations (du peuple) on se rapproche du choc qui risque de se produire dans le pays », a-t-il averti à la fin de cette rencontre qui n’a duré qu’une petite heure. L'adresse est claire, elle en appelle au DRS dont les capacités d'influence sont énormes et décisives, et à la présidence considérée comme la vitrine apparente du pouvoir.
Invité et reçu en sa qualité de personnalité politique, l'ancien chef de gouvernement avait rappelé que « la courtoisie est nécessaire mais ne peut pas exclure la franchise lorsque la question touche le pays ». Il a confié qu'il remis ses propositions « à qui de droit ». Si Ahmed Ghozali dont le parti le Front démocratique politique n’a pas été agréé par le ministère de l’intérieur est connu en outre pour son opposition au président de la république qu’il a brocardé dans ses multiples interventions dans la presse. Après Mohamed Saïd, il est donc la deuxième personnalité invitée auquelle le pouvoir a refusé l’agrément de son parti.
No comments:
Post a Comment