La marche du 22 janvier 2011 à Alger
La marche prévue le 12 février courant à Alger à l'initiative de la Coordination nationale algérienne pour le changement et la démocratie, est toujours maintenue, a réaffirmé samedi le président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (LADDH), Mostafa Bouchachi.
"Jusqu' à présent, il n'y a pas eu de refus pour organiser notre marche de la part de la wilaya d'Alger, qui nous a demandé, mercredi dernier, de reformuler la demande", a précisé M. Bouchachi à l'issue d'une réunion, samedi à Alger, des initiateurs de cette marche.
Mardi, le président de la LADDH avait affirmé que la marche du 12 février aura lieu "avec ou sans l'autorisation" des autorités algériennes.
"La majorité des membres de la Coordination, qui ont pris part à la dernière réunion, ont décidé de formuler une demande d'autorisation de cette marche pour respecter les procédures légales. Mais nous allons marcher avec ou sans autorisation. Telle est la décision de la Coordination", avait-il souligné.
A travers cette marche pacifique, les initiateurs veulent exiger la levée de l'état d'urgence, l'ouverture du champ politique et médiatique et la libération des personnes arrêtées pour des raisons de manifestations ou de délits d'opinion, est-il indiqué.
Plusieurs formations politiques et organisations de la société civile devraient participer à cette marche.
"Jusqu' à présent, il n'y a pas eu de refus pour organiser notre marche de la part de la wilaya d'Alger, qui nous a demandé, mercredi dernier, de reformuler la demande", a précisé M. Bouchachi à l'issue d'une réunion, samedi à Alger, des initiateurs de cette marche.
Mardi, le président de la LADDH avait affirmé que la marche du 12 février aura lieu "avec ou sans l'autorisation" des autorités algériennes.
"La majorité des membres de la Coordination, qui ont pris part à la dernière réunion, ont décidé de formuler une demande d'autorisation de cette marche pour respecter les procédures légales. Mais nous allons marcher avec ou sans autorisation. Telle est la décision de la Coordination", avait-il souligné.
A travers cette marche pacifique, les initiateurs veulent exiger la levée de l'état d'urgence, l'ouverture du champ politique et médiatique et la libération des personnes arrêtées pour des raisons de manifestations ou de délits d'opinion, est-il indiqué.
Plusieurs formations politiques et organisations de la société civile devraient participer à cette marche.
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